Des projets pour les territoires, l’architecture ou l’espace public.
Les projets adhèrent d’abord aux sites : à chaque lieu correspond une (des) forme(s). L’installation fait place au regardeur, interrogeant sa position ou accompagnant sa déambulation. Elle n’est pas autarcique, mais réclame une réplique, une attention du regard, une orientation spatiale.
L’œuvre se situe dans un contexte qu’elle sert, critique, commente, et dont elle dérive. Elle y entrecroise les domaines de l’art, du social et du politique.